Ça y est, la nouvelle version du MANIFESTE DE LA NOUVELLE TERRE est née de manière collaborative.
Un rayon d’espoir, et une invitation incroyablement belle à se diriger sur ce qui est BON. Tourner le dos à tout ce qui va mal et se concentrer sur ce que nous voulons vraiment voir le jour, au plus profond de nous.
Ce dont nous avons besoin maintenant, c’est de l’ENGAGEMENT de chacun d’entre nous, de chaque être humain éveillé, qui est conscient de l’urgence du changement vers le bien et qui est prêt à s’y atteler !
Il ne suffit plus de souhaiter une NOUVELLE TERRE SAINE. Il faut maintenant la CRÉER vraiment, et la libérer des rouages de la destruction.
Pour ce faire, il nous faut :
– être au service de la vie
– acheter des produits biologiques
– consommer consciemment
– entrer en contact avec les agriculteurs
– se mettre au travail de manière concrète
– être conscient des interactions entre toutes les formes de vie
– se connecter à l’énergie la plus élevée qui nous est donnée
– Découvrir quel est notre but dans la vie et commencer à le mettre en œuvre.
– Se réunir en groupes pour cultiver nos potentiels et élaborer des solutions.
– Concentrer 100% de notre attention et de nos actions sur ce qui est bénéfique pour tout le Vivant.
Aujourd’hui, en ce lundi de Pâques, nous sommes heureux comme des petits enfants de déposer à vos pieds cette nouvelle version du Manifeste de la Terre Nouvelle.
S’il vous plaît, inscrivez-vous, diffusez le manifeste partout où vous allez, parlez-en, montrez des solutions et aidez à arroser les graines de cette Nouvelle Terre qui sont déjà plantées en chacun et aidez-les à prospérer et à s’épanouir.
Partagez https://thenewearthmanifesto.com/ dans le monde entier ! Il n’est pas encore disponible dans toutes les langues. Il est pour l’instant disponible en allemand . Il y aura bientôt des versions distinctes en français, anglais et espagnol.
Nous nous réjouissons de vous retrouver sur notre plateforme, et nous vous souhaitons de merveilleuses fêtes de Pâques,
Cordialement,
votre Coco, Catharina, Bénédicte***.