Il a fait beaucoup de bruit avec son article « Covid-19, fin de partie », sorti mi-mars début mars. Moi aussi, je l’ai tout de suite passé sur 7sky.life. Le mois passé, Jean-Dominique Michel, qui s’occupe principalement de la question : ‘C’est quoi la santé, c’est quoi être malade, et si on est malade, comment peut-on retrouver la santé ?’ a sorti son livre « Covid, Anatomie d’une crise sanitaire ». Autant qu’anthropologue de santé et auteur, c’était l’un des premiers à comprendre que l’hydroxychloroquine pouvait soigner les malades, et aujourd’hui, il suggère grandement la plante naturelle Artemisia, mais aussi le Zinc, la Vitamine 3D ou encore la vitamine C. Mais parce qu’il ose donner des perspectives ‘non conformes’ sur une réalité sanitaire opposée à ce que les médias pensent, ils ne l’aiment pas. Et il évoque, que l’on paye des gens pour accuser la réputation des êtres ‘non-conformes’ « La manipulation qui se passe ici est énorme ! »
En même temps, il se réjouit en disant qu’il avait reçu mille fois plus d’encouragements que de critiques. La critique et le ‘non-conforme’, c’est aussi ce qui a aussi dû ressentir le Samadhi Project, la pièce de théâtre et des Conférences qui invite les spectateurs du 24.9. au 18.10.20 à se plonger au théâtre Pitoëff sur la question de l’invisible. Quand l’Etat de Genève a pris connaissance que Jean-Dominique Michel était l’un des intervenants durant les quatre weekends ‘santé’, ‘éducation’, ‘énergie libre’ et ‘amour’, ils voulaient retirer les fonds qu’ils avaient mis à disposition pour ce projet culturel, qui tombe d’ailleurs dans la période pic pour ce sujet pic. Totalement en phase avec ce qui se passe actuellement dans le monde. Voici la vidéo que je viens de sortir avec la metteur en scène, auteure et comédienne Sarah Marcuse à ce sujet : https://www.youtube.com/watch?v=GTA4n…
Dans cet entretien avec cet expert et chercheur ‘Covid’, nous faisons un joli tour d’horizon de ce qui se passe vraiment, que ce qui était jusqu’à lors sous-jacent est en train de monter à la surface, et aussi, qu’il faut agir, même si les forces sont contraires. Il souhaite dire à ceux qui sont dans la peur que la nature du danger n’a vraiment rien à voir avec la peur qu’ont les gens. Il évoque également que beaucoup de gens s’accrochent encore à leur confort, alors qu’une immense réflexion s’invite en même temps : Sur quelle valeur, sur quelle aspiration essayons-nous fonder un mouvement plus juste avec la vie en général ?
Le pessimiste joyeux, ce lanceur d’alerte en réseau avec tous les autres, sait que nous sommes dans un marathon et que les forces en face se prennent du temps. Tout en disant que : « nous aussi, nous sommes comme des mammouths, et nous ne lâchons rien. Sans crispation, en se prenant le temps de vivre, ils nous trouveront sur la route sur chaque pas, et tôt ou tard, le temps nous donnera raison ». J’en suis convaincue !