Nous ne pouvons plus continuer à jouer à l’aveugle, nous sommes tous invités aujourd’hui même de stand up for our rights, et de comprendre ce qui se joue derrière notre dos. Les évidences sont en train d’atteindre chaque être humain qui est prêt de rentrer dans sa vérité et de devenir acteur de ce changement. Lire ce Guide de l’être souverain, partie 1 et 2, est un important pas dans cette direction. Allons y, enjoy…
Ceci est la traduction partielle de l’ouvrage de Tír na Saor d’Irlande intitulé Freeman Guide.
Source: https://stopmensonges.com, Laurent Freeman
Introduction
Saviez-vous que pratiquement tous les gouvernements du monde opèrent dans un état de faillite ?
Saviez-vous également que la plupart des gouvernements du monde sont des sociétés enregistrées au registre du commerce et qu’elles font du commerce pour le profit ?
Aucune monnaie en circulation aujourd’hui (y compris le dollar et l’euro) n’est indexée sur une valeur quelconque et ne vaut donc que le papier sur lequel elle est imprimée (et encore !).
Savez-vous qu’il n’en a pas toujours été ainsi ?Il fut un temps où vous pouviez aller à la banque et échanger vos Billets contre un montant égal en or ou en argent. (C’est de là que vient le nom, par exemple, de la Livre Sterling qui était autrefois liée à l’argent Sterling, en anglais Sterling silver).
Saviez-vous que toute monnaie qui est mise en circulation dans un pays est créée par emprunt du gouvernement ?
Et comme il s’agit d’un prêt, des intérêts sont naturellement ajoutés au capital initial. Donc, si tout l’argent (les billets de dette) est crée par emprunt avec les intérêts en sus, comment pouvons-nous obtenir l’argent pour rembourser le prêt quand l’argent des intérêts n’existe même pas (parce qu’il n’a pas encore été créé) ?
En fait, la seule façon de rembourser les intérêts est d’emprunter encore plus d’argent.Voyez-vous comment cela mène à l’endettement perpétuel, aux saisies, à la faillite personnelle, à la récession, à la dépression, à la ruine et à la souffrance ?
Ces facteurs font partie intégrante du système et ne peuvent être évités. Une petite recherche personnelle vous démontrera qu’en fait c’est de cette manière que fonctionne le système financier. N’est-on donc pas sidéré de constater que cela continue ?
Comment peut-on payer une dette avec une autre dette ?
Un enfant pourrait tout à fait se rendre compte que les comptes ne s’équilibrent pas ! Il n’y aucune raison pour que cela perdure…Savez-vous ce que les gouvernements utilisent comme nantissement pour obtenir ces prêts de la Réserve Fédérale, du FMI ou de la Banque Centrale Européenne ?Il ne reste aux gouvernements qu’une seule ressource à offrir comme nantissement et, ça, c’est NOUS ! les hommes et les femmes vivant sur le territoire. Nous sommes réduits à l’état de Ressources Humaines pour acheter, vendre, faire de l’argent et payer les taxes.
Nous sommes considérés comme des “marchandises”.Savez-vous que (dans la plupart des pays) les tribunaux opèrent sous la juridiction du Droit Maritime qui signifie littéralement “le Droit de la Mer” ou “Droit des Affaires” ?Savez-vous que des Statutsi ne s’appliquent à vous que si vous y consentez ?Savez-vous que “Comprenez-vous les accusations portées contre vous ?” signifie “Vous soumettez-vous aux accusations portées contre vous ?”
Ceci signifie que si vous tentez de reconnaître ce que vous dit le juge, cela veut dire que vous lui donnez inconsciemment juridiction sur vous ; et ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres des ruses utilisées contre vous pour obtenir votre consentement. (N’oubliez pas : vous avez le Droit d’être Libre !)Êtes-vous conscients que ni les policiers, ni les avocats n’apprennent cela dans leurs écoles respectives ?
Avertissement : les informations contenues ici ont uniquement un but éducatif et ne doivent pas être considérées comme un conseil juridique. Ce guide n’est nullement exhaustif et ne prétend pas être une autorité en la matière. Des recherches supplémentaires sont nécessaires et vivement conseillées. Des ressources et des liens vers plus d’informations sont donnés à la fin de l’ouvrage.
La Véritable Structure de l’AutoritéStructure de l’autorité – Guide du SouverainDIEU (God)ou le Créateur, l’Univers, le Pouvoir Suprême, “Cela qui nous a créés” – nous faisant donc égaux à tous les hommes, souverains et sous la seule autorité de Dieu ou du Créateur.
L’HUMANITÉ (Mankind)Homme et Femme en possession d’un corps et d’une âme vivants. Libres d’exister en paix dans les limites de la Loi Naturelle/la Loi de Dieu en jouissant de tous les droits et des libertés protégés (plus sur les Droit plus loin).
GOUVERNEMENT (Government)Créé par l’Homme et la Femme : tout pouvoir et autorité d’un gouvernement est dérivé de ses créateurs (c’est-à-dire l’Homme et la Femme). Ils sont les représentants des Hommes et des Femmes et ont reçu l’autorité de gérer les affaires d’un pays selon la volonté populaire.
LOIS ET STATUTS (Acts and Statutes)Les gouvernement utilisent l’autorité qui leur a été concédée par les peuples pour édicter des règles qui régissent une société. Les Lois et les Statuts ont été créés par les Hommes et sont, par conséquent, en dessous de la Loi de Dieu/la Loi Naturelle. Étant donné que vous vous situez uniquement en-dessous de Dieu ou de “Tout ce qui Est”, vous devez consentir à ces règles pour qu’elles s’appliquent à vous. Le gouvernement présume qu’il vous représente dans la mesure où vous ne l’en avez pas informé autrement, et il présume votre consentement aux obligations et Lois Statutaires.
PERSONNES (Persons)Ce concept est difficile à saisir au début mais il est la clé de la compréhension du fonctionnement du système. L’Homme a créé le Gouvernement et, par conséquent, le Gouvernement est en-dessous de l’Homme et de la Femme. Donc, pour obtenir une autorité sur vous, il a dû créer une entité fictive connue sous le nom de “Personne”en jargon juridique (le langage du Barreau) et qu’on appelle aussi “Homme de Paille”, “Appellation Commerciale” et “Entité Légale”. On reconnaît ceci par le fait que votre nom apparaît en LETTRES MAJUSCULES sur tous les documents produits par le Gouvernement, vos comptes bancaires, vos relevés et tous autres documents commerciaux officiels, ainsi que vos papiers d’identité. Vous êtes portés à croire que cette cet “Homme de Paille” ou cette “Personne” est VOUS dans la mesure où le nom est similaire, mais CE N’EST PAS VOUS. Il représente une entité commerciale/une fiction légale qui ne possède AUCUN DROIT. Et c’est seulement quand vous, l’Homme ou la Femme, acceptez d’être représentés par cet Homme de Paille que vous abandonnez vos droits (volontairement quoique inconsciemment).
Précis de Droit
Statuts / LégislationToute législation statutaire est basée sur des Contrats et on s’en réfère en tant que “Lois”. Vous trouverez sûrement intéressant de prendre note de la définition de “lois” dans le Dictionnaire Juridique Blackii : ‘Loi dans le droit’iii : « une loi qui vise à créer, transférer ou éteindre un droit et qui est rendue effective en droit dans ce but ; l’exercice d’un pouvoir juridique. » ‘Loi du droit’ : « la création, l’extinction ou le transfert d’un droit par une opération de la loi elle-même, sans aucun consentement des personnes visées. »Le Droit CoutumierOn peut très facilement comprendre le Droit Coutumier par ce principe : “agis avec les autres comme tu voudrais qu’ils agissent avec toi.” Ceci revient à dire que, fondamentalement, les Droits d’un Homme finissent là où commencent ceux d’un autre. Le Droit Coutumier comprend les crimes tels que les blessures physiques, le vol, l’agression, la cause de pertes, le meurtre. C’est pour cette raison qu’on dit d’un meurtre qu’il est illiciteiv et non illégal.
Statuts / Législation
Un statut est un acte législatif d’une société.
L’accord formel écrit qui régit un pays, un État, etc. et qui a “force de loi” ou “apparence de loi”.
Une “valeur” monétaire lui est presque toujours associée.
Ces lois sont contre l’Homme et restreignent ses libertés.
Ce qui est légal :
Le Droit Commercial,
Le Droit Maritime,
Le Droit de l’Offre et de la Demande,
Le Droit de la Mer,
Les crimes sans victimes.
Droit Coutumier
La Loi non écrite de l’Homme ordinaire.
Il naît directement du Moi Supérieur/de la Conscience/de l’Intuition.
Des codes de conduite religieux, par exemple : les 10 Commandements.
Se résume comme suit : « Ne fais de mal à personne. »
Ces lois sont en faveur de l’Homme et le protègent.
Ce qui est légitime :
Le Droit de la Terre.
Universel mondialement.
Protège ceux dont les droits ont été enfreints.
Meurtre, vol, etc.
Crime avec victime.
Le Droit BrehonLe Droit Brehonv est l’ancien et véritable droit d’Irlande. Il existe depuis aussi longtemps que nous et date de plusieurs millénaires. Le Droit Brehon est l’un des plus anciens systèmes juridiques comme l’ancien Droit Védique de l’Inde. Le Droit Brehon a existé jusque dans les années 1700 où il a été éradiqué par un envahisseur étranger et que des lois pénales très répressives lui ont été substituées. Quand l’Irlande est devenue indépendante, on ne sait pourquoi nous avons décidé de garder les systèmes juridique et financier britanniques qui sont toujours en vigueur aujourd’hui.Quand le système juridique Brehon avait cours, il n’existait pas de forces de police, de peine capitale, ni de système judiciaire tel que nous le connaissons aujourd’hui. C’étaient des institutions “inutiles” aux yeux de la population pacifique de ce territoire. Le Droit Brehon est la loi de l’Homme et est supérieur au Droit Coutumier à bien des égards. Le Droit Coutumier est, en fait, une juridiction étrangère et vous êtes en droit de revendiquer le Droit Brehonvi ! Vous êtes encouragés à poursuivre vos recherches et des informations supplémentaires sont données à la fin de cet ouvrage.
Connaissez vos Droits…“Connaissez vos droits” est une expression que nous avons entendue notre vie durant… mais pourquoi est-elle si importante ? Si vous ne savez pas de quels droits vous êtes dotés, comment pouvez-vous les exercer ? Si vous ne savez pas ce que vous êtes libres de faire et ce à quoi vous avez droit, comment pouvez-vous être libres ? De plus, comment pouvez-vous vous protéger quand vos droits sont bafoués si vous n’êtes même pas conscients de ce qui se passe ?Apprendre ce qui concerne vos droits est très responsabilisant et une fois que vous comprenez vos Véritables Libertés dont vous avez été dotés à la naissance, sans distinction de race, de religion ou de croyance, vous aurez le désir d’exercer et de défendre ces libertés.« L’injustice quelque part est une menace pour la justice partout. » Martin Luther King
Quelques-uns de vos Droits…
Vous êtes nés égaux et libres (et l’égalité devant la loi est primordiale).
Vous avez droit à la Vie, à la Liberté et à la Sécurité.
Vous avez le droit d’être jugés devant vos pairs.
Vous avez droit à votre intégrité physique.
Vous avez le droit de voyager librement.
Vous avez droit à la liberté d’expression.
Vous avez le droit de réunion.
Vous avez le droit d’association.
Vous avez droit à la liberté de religion.
Vous avez les droits familiaux.
Vous avez droit à la vie privée.
Constitution irlandaise, article 41.1.1 :« L’État reconnaît que la famille est l’élément de base fondamental de la société selon la Nature, et qu’elle est une institution morale possédant des droits imprescriptibles et invincibles plus anciens et supérieurs à tout autre statut créé par l’homme. »Note : Cet extrait est tiré du document originel de la Constitution qui a été traduit en anglais. La différence entre l’original et les traductions modernes est notable.
Petit Guide de la “Personne”
La première chose à comprendre en abordant ce concept, c’est que vous n’êtes PAS une personne !
Vous AVEZ une personneUne personne n’est pas un Homme ou une Femme, c’est une entité légale similaire à une corporation et elle est utilisée pour tous vos documents commerciaux, administratifs et financiers.La PersonneUne corporation traitée comme ayant les droits et obligations d’une personne. Des pays et des villes peuvent être traités comme une personne de la même manière qu’une corporation. Cependant, les corporations, les pays et les villes ne peuvent avoir des émotions humaines telles que la malice, et par conséquent ne peuvent être responsables de dommages punitifs à moins qu’il existe un statut autorisant l’octroi de dommages-intérêts punitifs.Voici quelques points à noter relatifs à la “Personne” :
La Personne est aussi appelée Entité Légale, Homme de Paille, Entité Fictive ou Raison Sociale.
La Personne nécessite que vous, l’Homme et la Femme de chair et de sang, la représentiez dans ses affaires ; et, de plus, l’État/le Gouvernement (également des entités légales fictives, c’est-à-dire qui ne sont pas de chair et de sang) ne peuvent appliquer la législation qu’à cette Personne quand vous donnez votre accord et acceptez de la représenter.
La Personne ou Homme de Paille a été créé par l’État dans lequel vous êtes né sur du papier Bondvii peu après votre naissance. Votre naissance a été déclarée, ce qui a effectivement cédé l’autorité et la propriété à l’État par écrit. C’est de cette façon que l’État peut revendiquer l’enlèvement de vos enfants (sa propriété) s’il estime que vous ne vous en occupez pas à sa satisfaction.
Comme le Gouvernement/le pays fonctionne en mode faillite, il NOUS utilise, l’âme vivante, en tant que nantissement et fait des prêts sur le dos de cette Obligation (créée à la naissance). Cela est dû aux prévisions que nous produirons un revenu dans notre vie, que nous travaillerons et paierons des impôts, ce qui contribue à la dette nationale. L’acte de naissance est la preuve de l’obligation car il est imprimé sur du papier Bond.
L’Homme de paille n’a ni cœur ni âme. Récupérez votre pouvoir en agissant et en vivant à partir des vôtres ! Déclarez votre souveraineté et soyez libres ! Récupérez votre homme de paille pour accéder à votre souscription d’obligation et au crédit auquel vous avez droit.
Votre Numéro de Service Public Personnelviii (PPS Number) équivaut à un numéro d’employé. Vous travaillez pour l’État et aussi longtemps que vous travaillerez pour cette société, vous serez soumis à ses règles (ses Statuts) qui s’appliquent à ces employés/Personnes.
La Société« Une société est un groupe de Personnes rassemblées par consentement mutuel. » (Black’s Law Dictionary).Prenez bien note de cette définition juridique de société et que les Personnes se rassemblent par consentement. Donc, si vous n’êtes pas content de la gestion des affaires, ou si vous en avez marre de l’injustice, vous pouvez y réagir…
Précis de Jargon Juridique(le langage du Barreau)Ce que la plupart des gens ne réalisent pas c’est qu’il y a un tout autre langage utilisé dans nos affaires de tous les jours. C’est le langage du Barreau ou “jargon juridique”. Vous voyez, n’importe quelle société peut avoir ses propres langage et jeu de règles, mais si vous ne comprenez pas ce langage comment pouvez-vous comprendreix ce qui vous est demandé ?La PersonneUne corporation traitée comme ayant les droits et obligations d’une personne. Des pays et des villes peuvent être traités comme une personne de la même manière qu’une corporation. Cependant, les corporations, les pays et les villes ne peuvent avoir des émotions humaines telles que la malice, et par conséquent ne peuvent être responsables de dommages punitifs à moins qu’il existe un statut autorisant l’octroi de dommages-intérêts punitifs.La Société
Une société est un groupe de Personnes rassemblées par consentement mutuel.
Une société est soit enregistrée au registre du commerce, et donc juridiquement connue, ou alors elle n’est pas enregistrée et reste inconnue juridiquement.
‘Société Civile’ a généralement une connotation d’État, de nation ou de corps politique. En Droit Civil, société signifie partenariat.
Le Statut
Une loi votée par la branche législative de l’État.
La loi d’une corporation ou de son fondateur en tant que règle permanente.
Un instrument international qui fonde une agence et qui régule son envergure et son autorité.
La Loi
Loi dans le droit. Une loi qui vise à créer, transférer ou éteindre un droit et qui est rendue effective en droit dans ce but ; l’exercice d’un pouvoir juridique.
Loi du droit. La création, l’extinction ou le transfert d’un droit par une opération de la loi elle-même, sans aucun consentement des personnes visées.
L’Être Souverain
Un Être Souverain possède et jouit de tous ses droits civils et politiques sous un gouvernement libre.
Contraire d’un esclave.
Les Gouvernements font-ils du commerce pour le profit ?
Tous les Gouvernements et “institutions étatiques” sont enregistrés en tant que sociétés. On peut le vérifier en consultant le site internet de Dun & Bradstreetx, une base de données contenant des centaines de milliers d’enregistrements de sociétés qui font du commerce pour le profit. (On peut même acheter les rapports de solvabilité de ses sociétés !).
Quand une de ces sociétés tente de vous extorquer quelque chose ou de vous accuser, elles le fait selon la capacité de L’ENTREPRISE et selon le droit commercial (maritime ou statutaire). Elle ne peut appliquer ses revendications que sur l’Homme de Paille dans la mesure où ces lois ne s’appliquent qu’aux entreprises et non aux Hommes et aux Femmes. Elle s’arrange pour conclure un contrat avec vous par lequel vous acceptez et consentez (peut-être inconsciemment) à représenter votre Homme de Paille (ou société, ou raison sociale) sous un angle commercial. Ceci lui permet d’appliquer ses frais et revendications au travers de Statuts et de vous dépouiller de vos droits (plus sur les Contrats plus tard).
Quel est le but de toute entreprise faisant commerce pour le profit ? Facile, son but est de faire de l’argent ! Et qu’ont toutes les entreprises ? Des actionnaires. Donc, qui pourraient bien être les actionnaires d’une entreprise nommée “GOUVERNEMENT D’IRLANDE”xi ? Vous l’avez deviné : les Hommes et les Femmes d’Irlande… et vous pouvez avoir accès au portfolio de vos actions à tout moment. Nous le Peuple, sommes les propriétaires de cette société alors que nous sommes traités comme des employés ! Nous sommes les patrons.
Votre Numéro PPS équivaut à un numéro d’employé, et comme pour tout autre emploi, vous pouvez démissionner quand vous le voulez. Et aussitôt que vous êtes parti, les règles régissant la “Tenue au travail”, ou “Pas de boissons chaudes sur les bureaux”… ne s’appliquent plus à vous : vous êtes libres de toutes obligations. Vous n’êtes plus sous contrat ! En tant qu’Être Souverain sur le Territoire d’Irlande, vous jouissez de tous vos Droits et Libertés. Vous ne pouvez être tenu pour responsable des dettes de l’Homme de Paille ou de ses obligations statutaires.
Ce qu’il faut se rappeler : nous contribuons tous à notre communauté par notre propre valeur et par nos efforts. Notre force de vie même, notre énergie, “ce que nous sommes” est la seule véritable valeur. Que l’on soit menuisier, enseignant, maçon, femme au foyer, docteur, artiste, poète ou autre, nous contribuons selon notre propre nature. Quel que soit le travail que nous réalisons, quel que soit ce que nous créons, quel que soit ce que nous faisons, nous le faisons les uns pour les autres et pour l’avancement de tous. Enlevez l’argent du tableau… et vous verrez que nous aurons toujours ce que nous avons toujours eu sauf l’avidité ! Par conséquent, cette dette d’argent ne devrait jamais être utilisée que quand nous n’avons rien d’autre à nous offrir les uns aux autres… et il se trouve que nous avons énormément à nous offrir les uns les autres : nos compétences, notre créativité, notre expérience, notre sagesse. Pouvez-vous mesurer à quel point nous avons été asservis à ce système monétaire basé sur la dette qui ne laisse à la plupart d’entre nous aucun choix que d’exercer des boulots vides de sens ? Sans parler du cas extrême de ceux qu’on laisse crever dans les pays dudit Tiers-Monde, du travail forcé des enfants, des innombrables sans abris et des familles qui grappillent de quoi subsister. Nous possédons suffisamment pour nourrir, habiller, éduquer et soigner CHAQUE HOMME, FEMME ET ENFANT. Si nous vivions dans un monde où tout ce dont nous avons besoin était gratuit, les Hommes et les Femmes seraient en mesure d’explorer leur plein potentiel et leur créativité. Qui sait quelles grandes découvertes seraient faites par l’esprit non entravé des Humains dans l’amour, la compassion et l’aventure ?
Petit Guide des Contrats
Un contrat est un accord entre deux parties ou plus qui crée des obligations opposables et reconnues par le droit. Pour être considéré comme légitime, un contrat doit avoir quatre critères :
DIVULGATION TOTALE. Ceci signifie que les parties doivent être pleinement conscientes en concevant et en acceptant les détails et les termes du contrat. Les parties ne doivent avoir aucun doute, ni aucune confusion, quant aux termes établis dans le contrat.
RÉMUNÉRATION. Cela peut être “ce qui est offert” dans l’accord. Elle donne aux parties le temps de peser ce qu’elles risquent de perdre ou ce qu’elles peuvent gagner par le contrat.
CONDITIONS GÉNÉRALES. Elles exposent la structure et les critères de l’accord ainsi que les obligations de chacune et de toutes les parties impliquées.
SIGNATURE. C’est la partie la plus importante du contrat et c’est la preuve que l’accord a été accepté. Elle implique également “consensus ad idem”, une rencontre des esprits. Votre signature a beaucoup de pouvoir et vous devez faire attention à ce que vous signez.
Honneur / DéshonneurLa clé quand on traite de contrats est de rester dans l’honneur. Ceux qui appliquent les politiques publiques tenteront de vous obliger, par la force ou la ruse, à vous déshonorer afin d’être garantis d’une condamnation. Il y a quatre réponses que vous pouvez donner à ceux qui exercent des revendications à votre encontre :
IGNORER. Si vous ignorez une revendication exercée contre vous, vous donnez votre accord (tacitement) par votre silence ou acquiescement. Un défaut de réponse ou de contestation implique votre acceptation. Si vous ignorez une Notification ou une revendication exercée contre vous, vous tombez en Déshonneur.
CONTESTER. Si vous contestez les détails de la revendications à votre encontre, vous soulevez la controverse, c’est-à-dire que vous ne recherchez pas de remède. Là encore, cela vous place en Déshonneur.
ACCEPTER. Si vous acceptez les accusations ou les revendications, vous avez accepté de remédier à la situation en suivant les requêtes faites. Quoique cette option vous place en état d’Honneur, ce n’est certainement pas le choix le plus judicieux et responsabilisant que vous puissiez faire.
ACCEPTER SOUS CONDITION. C’est là qu’est le pouvoir quand on traite des avis de sanctions, des accusations et des assignations au tribunal, qui sont tous, croyez-le ou non, des OFFRES de contrat avec votre Titre Légal ou Homme de Paille. Vous pouvez accepter de façon conditionnelle les accusations ou exigences À LA CONDITION que vos termes soient satisfaits, par exemple : preuve de réclamation que la partie adverse a subi une perte ou qu’elle a une quelconque autorité sur vous. (Davantage d’explications plus tard.)
Imaginez la scène…Vous écopez d’une contravention pour stationnement illégal (il s’agit de votre voiture). C’est une offre de contrat qui stipule “Votre véhicule était illégalement stationné – toute Personne ayant illégalement stationné doit payer une amende selon la Loi sur la Circulation Routière.” Bien, nous avons déjà établi que vous n’êtes pas une Personne, vous AVEZ une Personne, donc comment cette loi s’applique-t-elle à vous, un Homme ou une Femme ? Elle ne s’applique pas à vous ! Comprenez bien que les autorités n’essaient pas de vous facturer à vous, l’Homme ou la Femme, elles tentent de facturer l’Homme de Paille ou de conclure un contrat avec la Raison Sociale (entité légale fictive) en usant de Statuts commerciaux. C’est parce que vous croyez que cela s’applique à vous que vous acceptez l’offre et la responsabilité ! Mais ce qu’on ne vous dit pas c’est que vous n’avez pas l’obligation d’accepter cette offre…Ci-dessous figure un exemple d’avis de sanction ordinaire que quelqu’un pourrait recevoir ainsi qu’une réponse possible qui utilise L’Acceptation Conditionnelle. Cela devrait vous donner une idée de ce que vous pouvez inclure, mais chaque cas individuel varie.
Notez que le courrier reçu des autorités irlandaises (dans cet exemple) était adressé à un Monsieur JOHN DOE (en lettres majuscules), ce qui indique que le courrier n’est pas adressé à un être humain mais à une raison sociale, une entité juridique fictive, une entité commerciale.Transports Publics SA à JOHN DOELa réponse de monsieur John Doe :John Doe à Transports Publics IncL’offre a été acceptée sous condition de preuve de réclamation. Le résultat de la manœuvre c’est de vous placer en état d’honneur tout en les plaçant dans une position où ils sont obligés de réagir pour ne pas tomber en déshonneur. Ces notifications peuvent aller et venir comme une balle de ping-pong, mais si vous restez sur vos positions et acceptez l’offre sous condition que vos termes soient satisfaits, tout en restant honorable dans vos actes, vous réussirez. Si toutefois cette affaire finissait par atterrir sur le bureau du juge, vous auriez, à ce stade, un dossier assez bétonné contre ceux qui exercent des revendications à votre encontre. Si vous faites la démonstration que vous étiez ouvert au dialogue et à la discussion, que vous recherchiez activement un remède et évitiez les conflits (alors qu’eux non), le droit sera toujours de votre côté parce que vous avez raison !
Au tribunal
Il est important de signaler que les services judiciaires, le système des tribunaux de Dublin et le Barreau d’Irlande sont des entreprises enregistrées au registre du commerce et font des affaires pour le profitxii. Ces entités tentent de présenter des réclamations contre vous à titre commercial en appliquant des statuts. Donc, elles tentent de conclure des contrats avec votre Personne ou Homme de Paille. Vous devez apprendre à reconnaître à quel moment elles tentent de le faire afin de contourner la situation.Les choses à se rappeler au tribunal :
Les tribunaux sont une tierce partie dans une dispute commerciale. Leur but est d’en être témoins et de faciliter la sécurité des transactions. Ils nécessitent le consentement des deux parties avant de pouvoir agir. Ils vous offrent un service. Ce service consiste à “être témoin de la dispute, prononcer un jugement et donner des ordres” – mais personne ne vous dit que vous n’êtes pas obligés de profiter de ce service ! Ils vous offrent un avantage auquel vous êtes libres de renoncer, que vous êtes libres de décliner.
N’obéissez à aucun ordre et ne suivez aucune requête. Si vous faites la moindre chose qu’ils vous demandent, vous leur donnez ainsi juridiction sur vous. La façon de contourner cela consiste, là encore, à répondre par vos propres questions ou requêtes, ou d’accepter sous condition ce qui vous est demandé.
Le langage qu’ils parlent est le “jargon juridique” qui sonne comme la langue courantexiii mais dont certains mots ont une signification totalement différente. Il n’y a que deux langues officielles reconnues dans la Constitution irlandaise, ce sont l’irlandais et l’anglais. N’hésitez donc pas à le leur rappeler et insistez pour que l’on parle l’anglais courant si vous le désirez.
Il n’est pas non plus inintéressant de noter que le juge, le procureur, votre avocat – si vous en avez un –, ainsi que tous les “fonctionnaires judiciaires” sont tous membres de la même société : le Barreau d’Irlande. Cette société a ses propres codes, règles et langage et vous n’en n’êtes pas membre. Alors, comment pourriez-vous la comprendre (vous y soumettre) ? Compte tenu de tout cela, croyez-vous vraiment que vous bénéficierez d’un procès équitable ?
Quand vous pénétrez dans un tribunal sous la juridiction du Droit Maritime, c’est un fait acquisxiv que vous avez “enfreint une règle de la société”, autrement dit un Statut, et vous y allez pour recevoir votre punition ou accusation. Vous (ou plutôt votre Homme de Paille) êtes “coupable jusqu’à preuve de votre innocence” et vous devez vous défendre des accusations portées contre vous.
Voici quelques exemples d’approches que vous pourriez utiliser :
1. Il y a 3 questions que vous pourriez poser au juge au tribunal qui pourraient publiquement et officiellement montrer que ce n’est pas dans votre intérêt de conclure un contrat, ni de “jouer au ballon”, ce sont : a) « Ai-je droit à un procès équitable et honnête aujourd’hui, monsieur le président (ou monsieur le juge) ? » [La réponse à cette question devrait naturellement être “Oui”.] b) « Pouvez-vous me dire qui est la victime dans cette affaire ? » [S’il est question de lois statutaires, le juge devrait répondre “le ministère public”.] c) Auquel cas vous pouvez allègrement continuer et demander : « Et qui représentez-vous, monsieur le Juge ? » [Là encore, la réponse sera “le ministère public”, donc vous pouvez maintenant souligner que vous ne pensez pas être en mesure d’obtenir un procès équitable aujourd’hui puisque on peut dire que le juge a un intérêt personnel dans l’affaire.]
2. Tous les fonctionnaires judiciaires doivent prêter un serment lié à leur fonction, y compris les juges. Toutefois, le juge n’agit pas nécessairement selon son serment quand il siège au tribunal. Or, quand il n’agit pas selon son serment, il ne fait qu’émettre des opinions personnelles. Cela a un poids énorme au tribunal parce qu’on ne dit pas aux gens que le juge est, après tout, un homme comme un autre et n’a aucune autorité sur eux ! Il vous faut faire procéder à l’enregistrement du serment du juge dans les minutes du procès/procès-verbal d’audition !! À cet effet, vous pourriez tout simplement demander au juge : « Avez-vous un serment lié à votre fonction ? » S’il répond Non, alors vous pouvez demandez au policier dans la salle d’arrêter cet imposteur. C’est pour cette raison qu’il répondra probablement “Oui”, et c’est le moment de lui demander : « Votre serment est-il ici aujourd’hui, monsieur le juge ? A-t-il été enregistré dans les minutes ? » C’est à ce moment que cela devient intéressant parce que vous allez réaliser que très probablement il ne l’a PAS été ! Vous devez déclarer clairement et sans équivoque : « Officiellement et pour mémoire, j’accepte votre serment professionnel. » Il est maintenant enregistré dans les minutes ! Quel est le but de la démarche ? Un juge doit prêter serment pour faire respecter la Loi (pas les Statuts), pour exercer de façon impartiale et pour administrer la justice équitablement et sans préjudice. Quand son serment est “enregistré”, le rôle du juge change : il doit vous protéger si on bafoue vos droits. Il doit nécessairement faire respecter la Loi (le Droit Coutumier) et devient une partie désintéressée dont le rôle est de s’assurer que la justice prévaut selon les faits exposés uniquement. Une autre chose, c’est que vous êtes maintenant “innocent jusqu’à preuve du contraire” et il appartient au procureur de prouver votre culpabilité.
3. Si/quand le juge demande : « Comprenez-vous (les accusations) ? » Il offre un contrat (cela veut dire « Acceptez-vous les accusations ? ») Vous pourriez répondre « Non, je ne comprends pas. Je ne comprends pas un mot de ce que vous dites… Vous comprenezxv, monsieur le juge ? ». À ce stade, le juge devrait comprendre ce qui se passe (vous faites une contre-proposition) et il devrait faire attention à sa réponse. S’il dit “Oui”, alors il vous donne autorité sur lui en déclarant qu’il vous comprend (en anglais “he stands under you”). Au contraire, s’il dit “Non”, alors continuez et dites-lui « Monsieur le juge, je crois que nous avons eu une proposition et une contre-proposition. Aucune des parties n’est d’accord avec les termes, donc nous ne pouvons pas continuer. Bonne journée à vous ! »
4. Une autre approche consiste à ne pas du tout entrer dans leur jeu ! Rappelez-vous qui vous êtes en relation avec votre Créateur : vous êtes le numéro 2 ! Second seulement après Dieu ! Qu’ont ces hommes et ces femmes à faire des réclamations contre vous et à vous accuser alors que vous ne leur avez fait aucun tort ? Vous pourriez accepter conditionnellement en disant : « J’accepte toutes les accusations et les réclamations à mon encontre à condition que le Tribunal ou l’Accusation prouve qu’il a une autorité sur moi pour procéder à ces accusations et ces réclamations. » Voyez-vous, les tribunaux n’ont aucune compétence matérielle, ils n’ont aucune raison d’être impliqués (à part le fait que leur implication vise à tirer profit des accusations qu’on VOUS force à payer !).
En tenant compte de tout ce que nous avons couvert jusqu’ici, voici un exemple de ce que vous pourriez dire au tribunal après qu’on aura appeler le nom de votre Homme de Paille :« Officiellement et pour mémoire, je suis le/la représentant(e) de cette entité légale. Je suis un être souverain vivant sur ce territoire, et je tends la main en signe de paix au tribunal. Je n’ai causé de tort à personne. Je réserve tous mes droits et ne renonce à aucun d’entre eux. » (« Je décline tous les avantages offerts et libère le tribunal de son devoir d’agir contre rétribution ») ou (« Je fais une apparition spéciale ici aujourd’hui afin de régler cette affaire. J’accepterai volontiers toutes les réclamations contre moi à condition que vous me fournissiez la preuve que vous avez une autorité quelconque sur moi. »)Note : vous pouvez également lire votre Notification de Compréhension et d’Intention et Revendication de Droitsxvi afin qu’elle soit enregistrée au procès-verbal. Ce ne sont là que quelques exemples de ce que vous pouvez faire dans un tribunal pour vous protéger, mais une fois que vous vous souviendrez que c‘est vous le patron, les possibilités sont sans limites ! Ils n’ont aucun pouvoir sur vous ! Traduit par Sylvie C. Buisson (15 septembre 2015)Source : Document PDF (anglais)