Cet article réellement incroyable relayé par NSNBC confirme ni plus ni moins officiellement l’utilisation de manière planétaire des chemtrails de la bouche même du GIEC. Alors qu’ils exhortent les gouvernements à continuer à lutter contre le réchauffement climatique via la géo-ingénierie, la NASA quand à elle nous dit que le cycle solaire actuel est le plus faible depuis 200 ans et que l’on pourrait se diriger vers un nouveau petit âge glaciaire. On cherchera en vain comment les deux situations peuvent se cumuler. Ce qui est sur c’est qu’à force de se prendre pour Dieu, l’homme risque bien plus que de se brûler les ailes. Fawkes
NSBC:
Le cinquième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) prévient que, malgré les effets secondaires mondiaux et les conséquences à long terme, les techniques de géo-ingénierie impliquant la gestion du rayonnement solaire (SRM) doivent être maintenus:
«Si la SRM était arrêté pour une raison quelconque, il est fort probable que les températures de surface du globe augmenteraient très rapidement à des valeurs telles que celles dues à un effet de serre élevé. »
«
Climate Change 2013: The Physical Science Basis » (dénommée « AR5») remplace l’ancien rapport publié en 2007. Le premier rapport d’évaluation du GIEC a été publié en 1990. (Dans le cas où le résumé contenant cet avertissement serait modifié, voici la
version téléchargée le 3 novembre 2013.)
La discussion dans le Résumé pour les décideurs, au sein du RE5, félicite la gestion du rayonnement solaire et les méthodes d’élimination de dioxyde de carbone, qui restent limitées dans leur efficacité à l’échelle mondiale, mais admet quelles ne sont pas idéales, et que les deux techniques de géo-ingénierie ont des conséquences à long terme, potentiellement inconnues.
«Bien que l’ensemble de la communauté des universitaires prétende toujours ne pas connaître la réalité permanente de la géo-ingénierie globale», commente Dane Wigington de
Geoengineering Watch, « le simple fait qu’ils soient en train de discuter de la géo-ingénierie dans le dernier rapport du GIEC indique que le voile commence à se lever. «
La gestion du rayonnement solaire comprend diverses techniques visant à refléter ou détourner le retour du rayonnement solaire dans l’espace, ce qui augmente essentiellement l’albédo de la planète (réflectivité). Beaucoup de géo-ingénieurs du GIEC préfèrent les méthodes de gestion du rayonnement solaire pour l’élimination du dioxyde de carbone comme solution climatique, compte tenu des cycles de rétroaction complexes de carbone de la planète, c’est la méthode la moins cher et la plus rapide en pulvérisant notre ciel avec des particules dopant l’ albédo.
« Bloquer le soleil, mais continuer à cracher des milliards de tonnes de dioxyde de carbone dans l’atmosphère, » est la manière dont Eli Kintisch caractérise le SRM dans son livre 2010 « Hack the planet ».
Dans un monde orienté vers la santé, il faut renoncer aux combustibles fossiles pour l’énergie solaire gratuite et abondante, conjuguée avec le développement de l’électricité libre de Tesla, afin de répondre aux besoins énergétiques de la planète, sans détruire notre environnement par l’extraction et la combustion de combustibles fossiles.
La gestion du rayonnement solaire a «trois caractéristiques essentielles », note le Conseil International Risk Governance (
IRGC). «Ce n’est pas cher, rapide et imparfait » [4] Citant un militant de la géo-ingénierie, David Keith, le CGR explique que par l’injection de 13.000 tonnes de sulfate en aérosol dans la stratosphère sur une base quotidienne, ils pourraient compenser les effets radiatifs d’un doublement des concentrations de CO2 dans l’atmosphère. Cela se compare à avoir à enlever « 225 millions de tonnes par jour de CO2 de l’atmosphère en 25 ans. »
Si la raison l’avait emporté, nous saurions capter l’énergie solaire, et non pas la bloquer; nous fuirions les combustibles fossiles, ne ferions pas guerres écocides afin de saisir les stocks restants. Dans le monde d’aujourd’hui, cependant, les responsables politiques ont détourné des milliards de dollars en bloquant le soleil. Le coût des systèmes efficaces sont d’environ 10 milliards de dollars par an, « c’est bien au-delà du budget de la plupart des pays », note le CGR.
En plus d’avertir les décideurs, dans son résumé, que les Chemtrails doivent se poursuivre, le GIEC nie également l’existence de ces programmes. Enfouie dans le chapitre 7, le GIEC indique simplement que, « les méthodes SRM ne sont pas mises en pratique et non testées. »
Il s’agit d’une déclaration étrange, étant donné l’avertissement qu’arrêter le SRM consisterait à réchauffer la planète. De plus, le GIEC admet dans RE5:
» De nouvelles séries d’aérosols et l’amélioration des observations ont émergé depuis RE4. Un certain nombre d’expériences sur le terrain ont eu lieu. «
L’un des programmes énumérés est l’expérience de transport chimique Intercontinental afin de couvrir l’hémisphère Nord, la mesure des aérosols en provenance d’Asie et leur traversée du Pacifique en Amérique du Nord, puis en continuant à travers le continent, à travers l’océan Atlantique et en Europe. Dirigés par le projet sur la chimie atmosphérique globale internationale, ces vols ont eu lieu en 2004 et 2006, et auraient été au nombre d’au moins 48.
Une autre «expérience» fût « European Aerosol Cloud Climate and Air Quality Interactions Project », qui a commencé en Janvier 2007 et a pris fin en Décembre 2010 – pendant quatre années, et notamment en Afrique.
En plus des projets régionaux communs, plusieurs nations effectuent également des essais sur le terrain de manière régionale à l’intérieur de leurs propres frontières. L’Inde admet l’exécution des programmes de SRM depuis plus de dix ans.
Certes, les essais sur le terrain se déplacent bien au-delà des «expériences» quand ils couvrent les continents et les divers océans et qu’ils sont réalisés sur une période de plusieurs années.
Une autre incohérence du RE5 est sa discussion sur les traînées persistantes. Malgré le terrible avertissement dans le résumé exhortant les décideurs politiques à poursuivre leurs programmes de gestion du rayonnement solaire à défaut de cuire la surface de la planète, le groupe de RE5 voit ces contrails persistants comme les responsables d’une très légère augmentation de l’albédo (quand l’énergie solaire est réfléchie dans l’espace).
Globalement, le GIEC a «quelques doutes» concernant le fait que ces traînées persistantes et les nuages cirrus qui en découlent ne changent pas les températures de surface de la planète. Cela contredit ce que les scientifiques ont constaté lors de l’interdiction de vol durant 3 jours de tous les avions américains après le 11 Septembre (sauf ceux des Saoudiens partant pour l’étranger). Les températures au sol ont augmenté de 2-3 º C en l’absence de contrails persistants, ou non.
Développé en 1988 par le Programme pour l’Environnement des Nations Unies et de l’Organisation météorologique mondiale de l’ONU , le GIEC maintient son silence sur les demandes de modification du climat militaires qui continuent de fausser les données sur le climat . Les « Phénomènes météorologiques et climatiques » sont liées au changement climatique, il n’est pas fait mention des programmes gouvernementaux visant délibérément à modifier les conditions météorologiques et les tremblements de terre d’induction , la sécheresse , la pluie et les tsunamis. Les
Planetary weapons (armes planétaires) développées par les Etats-Unis ont un long historique.
Mais le GIEC reste muet sur ces projets, a part nier qu’ils existent, alors que dans le même temps il explique dans son Résumé qu’ils doivent continuer ou il y aura un pic du réchauffement climatique. Le rapport 2013 du GIEC affirme :
«Les théorie, études de modèles et les observations suggèrent que certaines méthodes de gestion du rayonnement solaire ( SRM ) , si praticable, pourraient compenser sensiblement une hausse de la température mondiale et compenser partiellement certains autres effets du réchauffement climatique , mais la compensation pour le changement climatique causé par les gaz à effet de serre serait imprécises (confiance élevée ). » [Souligné dans l’original]
Prétendre que les méthodes de gestion du rayonnement solaire (qui comprennent Chemtrails et les changements induits par HAARP) ne sont « pas encore implémentées et non testées » est absurde, Il est difficile de le contredire vu les Preuves.
En tout cas, alors que le voile peut être levé sur les pratiques de géo-ingénierie, il y a encore un effort apparent pour dissimuler l’ampleur des programmes aux quels la planète fait déjà face.
Les décideurs pour la plupart ne vont pas lire les dossiers et rapport du GIEC 2000, mais s’appuieront plutôt sur le résumé, (re) mettant en garde; que si la « gestion du rayonnement solaire » était résiliée pour une raison quelconque, il est fort probable que les températures de surface du globe augmenteraient très rapidement à des valeurs telles que celles dues à un effet de serre élevé. »
Quand au rapport sur le climat pour la prochaine décennie? Il faudra s’attendre à davantage de HAARP et de chemtrails.
Lien connexe:
Planète SOS: le documentaire qui parle de pulvérisation par avions pour sauver la planète…hmm hmm