Bien sûr, il y a les artistes d’ici et d’ailleurs. Il y a les concerts où l’on danse à deux, ceux sur lesquels on aime sauter les quatre fers en l’air et gesticuler la tête dans tous les sens ou ceux encore où les fesses assises sur les marches, on profite d’un quart de poulet grillé, les oreilles penchées sur la musique du fond. Il y a aussi, les feux d’artifices qui s’impriment dans les nuages et reflètent la semaine de dingue qui vient de se terminer. Mais vous oubliez ce qui rend la fête si éblouissante ! C’est sous ce jour que nous voulions donner la place à ceux qui colorent l’espace, à ceux qui rient à coeur joie leur flamme de vivre, à ceux qui savent rendre la boue et la pluie terriblement agréables, à ceux encore sans qui rien ne serait possible ! LES FESTIVALIERS EUX-MÊMES !
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