Bonjour, comment ça va ?
Je veux dire, au fond, tout au fond, quand vous regardez bien au fond avec les yeux du cœur et que vous faites le point avec vous-même. Ca va ?
Quand vous posez votre regard doux sur vos enfants,que vous élargissez le focus, que vous regardez d’autres enfants, d’autres gens, les gens, les autres, le monde.
Est-ce que ça va ?
Je sais que le monde va mal. Je ne parle pas de cela.
Je parle de vous, sœur/frère humain.
Moi j’ai mal.
Passée la satisfaction du poste que l’on souhaite obtenir, la maison, la voiture.
Et les petites économies. Comblées les petites frustrations quotidiennes. J’ai encore mal.
J’ai mal à l’humain. Mal de voir tant de maux. De me sentir tenue si loin de mes sœurs et frères humains. Tenue éloignée de vous par des besoins extérieurs. Besoins de consommation et de possession. De reconnaissance. Loin de vous alors qu’au plus profond de moi je sens notre connexion intense, nécessaire et pourtant ignorée.
Lorsque mon regard se tourne vers mon royaume intérieur, je découvre un monde peuplé, riche et personnel. Mes anges et mes mythes m’invitent, en quadrichromie, à goûter à la paix.
C’est dans ce microcosme, dans mon palais personnel, que mes besoins s’étiolent, que mes peurs se volatilisent. Un Océan d’Amour. Juste là, dedans. A portée de main. Et mon regard se pose à nouveau sur le monde. Sur vous.
Avec bienveillance.
De l’intérieur vers l’extérieur. Mystérieusement, cet espace invisible a changé le visible.
Le rapport au monde.
Cette magie si désuète et si puissante. Ridicule et gratuite. Ce don de l’invisible comme une force qui gouverne tout. De l’intime vers le grand univers. Et vice versa.
Comment en parler ?
Comment vous inviter à goûter ce présent ?
Ouvrir le goût de l’aventure. Déployer une curiosité sans bornes. Se re-connecter à vous. Et au tout. La beauté de la fleur. Le goût du miel. La douceur d’un regard.
Nul besoin de gourou ni de religion pour toucher du doigt à ce Soi en soi.
Mais désobéir. Savoir tourner le dos. Désobéir aux appâts de l’extérieur, de la surface, du consensus. Désobéir à la peur de l’inconnu, la peur du mystère. De l’inexpliqué.
Désobéir, pour rencontrer ce dont on parle chez nous si peu : l’invisible. Le sacré.
Pour satisfaire mon appétit profond pour les mystères que je perçois autour de moi, j’ai décidé de creuser. Tout azimuts. Et plus les portes s’ouvrent plus je m’extasie, ébaubie par mon ignorance et par les trésors que j’ai découverts.
Mon regard a croisé dans un magazine, celui d’Alex Orbito, guérisseur philippin, de renommée mondiale. Chirurgien à mains nues. Et la peur au ventre mais avec une gigantesque soif de connaître et de comprendre j’ai volé jusqu’à lui, en Asie, mes enfants sur le dos. Et nou savons assisté à des opérations. Et nous nous sommes fait opérer. Et notre vie a changé. Notre regard sur le monde s’est métamorphosé.
Et quand j’ai dit à mon fils : « On est un peu aux frontières du réel, là.. »
Il m’a répondu avec un grand sourire :« On les a largement dépassées, maman.. »
Et c’est extraordinaire, oui, de voir cet homme et ses petites mains entrer en vous sans aucune douleur. C’est phénoménal de ressentir l’impact énergétique, le frémissement de chacune de nos cellules.Comme si elles reprenaient vie. Mais ce n’est pas magique.
C’est tout simplement une science. Méconnue. Incomprise. Rejetée.
Notre corps n’est-il pas tout simplement constitué de milliards d’atomes vibrants à une certaine fréquence ? Comme tout ce qui nous entoure ? Changez la fréquence d’un solide et il changera de densité. Comme la glace se change en eau, ou en vapeur lorsqu’elle est soumise à un changement d’énergie. C’est ce que fait Alex Orbito. Par le pouvoir de sa pensée, de son amour. Par la parfaite maîtrise de son énergie et sa connaissance des lois de l’Univers.
Nous sommes rentrés bouleversés et j’ai continué ma quête.
De rencontres en rencontres.
Pierre-François et Sandrine reçoivent chaque jour des informations par le biais de leur conscience supérieure, cette partie de notre être qui réside de l’autre côté du voile. Elle leur parle. Distinctement et sur un mode extrêmement direct, humoristique et omniscient.
Pierre-François entend les messages et il répète les mots. A grande vitesse. Sandrine retranscrit.
Ils ont ainsi réappris à utiliser l’énergie des sites sacrés de Bretagne à des fins curatives et initiatiques. Comme le faisaient les druides en une autre époque.
Ils ont réhabilité elfes, fées, gnomes et dragons. Ces présences nécessaires à l’équilibre et à l’harmonie de ces lieux. J’ai goûté à ces partages et à ces communications et mon cœur s’est ouvert un peu plus.
Yann Lipnick s’est spécialisé dans la connaissance des facultés méconnues du corps humain et des différents corps subtils qui nous constituent. Il m’a appris à percevoir et à ressentir le monde invisible dans lequel nous évoluons. Les courants telluriques. Les présences vibratoires qui croisent notre quotidien. Et c’est un lien de plus !
Un fil de soie qui me relie à cet univers extraordinaire dont on sait si peu de choses. Qui me relie à ce vide qui nous entoure et qui est vie plutôt que vide.
Je n’ai pas cherché à rencontrer des« croyants ».
Je me suis focalisée sur des gens qui vivent réellement au quotidien, dans un rapport différent au monde.
Des êtres comme vous et moi, qui ont des connaissances particulières, des dons que vous qualifieriez d’extraordinaires.
J’ai compris aujourd’hui que ces dons n’ont rien de paranormaux. Ils sont la conséquence directe de leur verticalité. Rester dans l’axe de qui nous sommes réellement. Voilà le travail ! Les pieds sur terre, les yeux et le cœur grands ouverts. Connectés à tout ce qui croise notre chemin. Animaux, minéraux, végétaux et humains.
Alors quand je nourris ce lien, je vais bien ! Divinement bien.
Et je peux vous le dire, frère/sœur,humains. : je vous aime profondément.
