J’ai tenu à partager avec mes amis et connaissances ce texte qui m’est venu après que je me sois posé si longtemps la question « mais que ce passe-t-il enfin? » Si le scénario est noir, qu’il soit cependant comme le sol ferme au fond du fond, nous promettant de remonter rapidement. Qu’il soit la source de la force d’une désobéissance civile désormais nécessaire, qu’il soit surtout une invitation à imaginer ensemble le monde pérenne et apaisé de demain. J’ai hâte de vous retrouver dans cette imaginaire mis en actes aussi vite que possible !
Vous avez bien sûr toute liberté de diffuser ce texte autour de vous.
N.B. Que nos frères et sœurs déjà vaccinés, qui pourraient être choqués à la lecture de ce texte, passent leur chemin comme ils/elles l’ont fait devant les nombreuses alertes de scientifiques notoires.
Yves Desarzens
Ces lignes sont une vision, une hypothèse parmi d’autres de ce que nous traversons en terme de bouleversements écologiques d’une part et de privations de libertés d’autre part, dont l’objectif avoué semble être de prendre soin les uns des autres, face à une pandémie majeure, en se masquant, en se confinant, en s’éloignant de l’autre devenu dangereux. Et en se vaccinant…
Nombreuses sont les voix de scientifiques nous alertant sur les dangers d’une expérimentation génique plutôt que d’une vaccination, sur les risques de créer des virus mutants. Mais rien n’y fait, la peur règne, la plupart se soumettent tôt ou tard à l’idée sournoise d’une « solidarité vaccinale ». Solidarité avec mes semblables, ou avec des entreprises cyniques, jugées et condamnées à des amendes par milliards ? Ou avec les deux peut-être, ces dernières étant devenues notre seul recours et trouvant soudainement une vocation altruiste ?…
Pour ceux qui le veulent, pour ceux qui le peuvent, arrêtons de rêver… Alors ?
Alors… des hommes visionnaires, des hommes puissants, des créateurs ou dirigeants des GAFAM, des chefs d’état, des milliardaires, des hommes qui ont su créer des empires ont compris depuis… un certain temps que notre civilisation était fortement compromise par le réchauffement qu’elle induisait… tout simplement. Contrairement à la plupart d’entre nous, ils l’ont compris et intégré… par les informations précises dont ils disposent. Pas de doute, c’est le dernier moment pour tenter le tout pour le tout : ceux-là même qui ont fait fortune en participant massivement au réchauffement planétaire savent aujourd’hui où notre dépendance aux hydrocarbures nous a mené. Ils ont tiré les ficelles d’un monde addict au pétrole, et comprennent aujourd’hui que la fête prend fin. Assis sur leurs fortunes, ils continuent à imaginer comment en gagner plus, comment assurer leur sécurité, dans un monde en plein bouleversement. C’est pour eux, la fin d’un monde, mais pas la fin des profits, ni la fin des « astuces »… inscrites dans leur profil de « gagnant ».
Car ils mettent en place, probablement, va-t-on dire, une stratégie de survie, coûte que coûte : qu’est-ce qui pourrait bien résoudre l’ensemble des problèmes écologiques que nous rencontrons : réchauffement, disparition des espèces et de leurs biotopes, etc., etc. ?
D’un côté donc, nous avons une société déboussolée, habituée à un mode de vie totalement dépendant de très nombreuses ressources, et de l’autre côté une élite consciente de la fin imminente du système même qui les a enrichis.
La difficulté pour nous est réelle de prendre pleinement conscience de nos propres addictions, comme il en serait pour un toxicomane devant prendre la mesure des dégâts engendrés sur sa santé. Technologie durable, économie verte et autres concepts flous viennent d’ailleurs nous « aider » à nous voiler la face. Nous sommes malgré nous, des drogués de la consommation massive d’énergie fossiles, nucléaires, ainsi que de biens suscitant des pollutions énormes. Nous ne savons vivre autrement : de quoi sont faites nos routes, nos écoles, nos usines, nos infrastructures gigantesques ? Ces questions nous projettent dans notre incapacité à respecter le vivant… et une culpabilité sourde nous habite… comme celle du toxicomane juste avant sa prise… Pourtant nous sommes malades et nous soigner serait plus utile que de nous culpabiliser.
Je dresse ce tableau pour que nous imaginions ce que nous représentons pour la tête pensante de « l’élite » : des êtres addicts, incapables de changer de comportement, soumis à la publicité, des êtres faciles à influencer, par la peur ainsi que par la diffusion d’une pensée unique sur ce qu’on peut sans vergogne appeler désormais leur réseau médiatique, des êtres devenus indésirables, face à l’urgence climatique et au plan de survie de l’élite. Une masse apeurée et molle, désillusionnée et incapable d’envisager la gravité de la situation. Et pardon si je vous choque… mais l’acceptation si générale de la « vaccination » leur donne raison : si peu de questionnement, alors que des scientifiques de haut niveau nous alertent ; si peu de conscience écologique partagée et mise en acte…
L’essentiel de la population croit encore à la notion d’ « effort commun » et à un retour plus ou moins proche à la normale : alors, je ne vais pas y aller par quatre chemins : « L’effort commun » c’est notre docilité à masquer nos enfants et à nous faire vacciner sans connaître ou sans vouloir connaître les risques encourus. « L’effort commun » c’est accepter de donner tous pouvoirs à des êtres déterminés à vivre au dépend des autres. « L’effort commun » c’est notre abdication à imaginer un autre monde libre, joyeux, désintoxiqué.
Désintoxiqué, oui, car notre mode de vie est incompatible avec le vivant et d’autres l’ont compris mieux que nous…
Car, sans volonté claire de nous libérer de nos addictions, notre mode de vie accrédite, innocemment peut-être, cette option de vivre « au dépend de » et « coûte que coûte ».
Seriez-vous d’accord avec moi de considérer que nous sommes à peine moins fou que nos élites, avec des modes de penser parfois très semblables. Que ne ferait-on pas pour survivre et protéger nos privilèges… Peut-être est-ce par ici que le ver est dans le fruit ?
Enfin je voudrais souligner que « l’élite », loin de se voir comme une organisation criminelle, s’imagine en sauveuse de la vie sur terre et donc en sauveuse de l’humanité…Observons nos petits arrangements avec notre conscience, à chacun, pour comprendre le processus de cette pensée. A coup sûr, l’élite se justifiera ainsi du génocide annoncé !
En conclusion, oui je pense que la vaccination est un cheval de Troie dans notre corps pour exterminer une partie importante de la population, oui, je suis d’accord avec l’élite pensante (et là, je parle bien de sa tête pensante et non des ouvriers et petits soldats qui par soumission et promesses d’acquis, s’imaginent en faire partie) sur le constat qu’il est impossible écologiquement de faire autrement que de marquer un arrêt subite de nos émissions et pollutions.
Aussi dur que ce soit d’imaginer ma pensée si proche de celle du génocideur, je peux considérer en tous les cas une divergence de taille : l’envie de trouver des solutions avec l’ensemble de mes frères et sœurs humains et pour l’ensemble de mes frères et sœurs humains (à savoir, sans volonté survivaliste menant aux solutions génocidaires envisagées).
On peut rire en disant que ma position est directement influencée par la réalité de ma non-appartenance à l’élite…
On peut aussi pleurer de la volonté de s’en sortir seule de l’élite par les pires crimes qui soient.
On peut, enfin, imaginer construire ensemble les solutions de demain entre êtres conscients des lois du vivant, d’où nous venions et de quel bord nous soyons… car finalement chacun évolue dans la conscience qu’il a de ce qui se passe et joue son rôle comme le dit ce magnifique texte, éditorial du site si inspirant de Réinfocovid ( https://reinfocovid.fr/ ) :
Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.
Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.
Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.
Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos œillères, nous laissant contempler le désastre.
D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté,
dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.
Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.
Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais. Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.
Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.
Nous ne voulons pas vivre masqués.
Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.
Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.
Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.
Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.
Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.
Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ». Vous nous avez rassemblés.
Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.
Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.
Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facilement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.
Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.
Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.
Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.