Depuis un certain temps, je me demande comment nous pouvons approcher des gens qui ne sont pas vraiment prêts à entendre une version de l’histoire différente de celle qui leur est racontée dans les grands journaux, les livres d’histoire et à l’école.
Parce qu’à un moment donné, ne devrions-nous pas tous nous poser de nouvelles questions ? Des questions qui nous font avancer ? Parce que le fait que quelque chose ne va pas tout à fait bien sur notre planète, pas tout à fait comme nous le voudrions, doit tout de même être remarqué par tout le monde. N’est-ce pas ?
Je veux dire que nous ne sommes bons pour l’Etat que pour payer nos impôts. Que nos talents et nos dons ne soient pas plus soutenus, ce qui est en fait le plus grand bien d’un pays, devrait nous interroger, non ?
Tout le monde devrait savoir que les pesticides, présents dans notre alimentation, les radiations électromagnétiques de nos téléphones portables et de nos ordinateurs sans fil, le fluor dans notre eau et les métaux dans l’air, n’ont pas leur place dans notre vie et sont nocifs pour l’environnement. Ou pas ?
A quel moment l’homme devient-il méfiant ? À quel moment commence-t-il à remettre en question son propre système de croyances ? Attention, système… parce qu’un « système » externe ne se produit jamais spontanément. Un système a été conçu et élaboré par une poignée de personnes jusqu’à ce qu’il fonctionne si bien qu’on ne se demande jamais s’il pourrait en être autrement.
Faut-il vraiment toujours un véritable crash pour se réveiller ? Ou cela fonctionnerait-il sans souffrance ? Quoi qu’il en soit, en ce moment, la vie nous offre ce tour, ce crash, certainement très nécessaire. Quelqu’un a dit un jour : « Celui qui veut du mal et créé du bien ». Je suppose que nous devons tous passer par là, réveillés ou non. La seule différence est que les êtres éveillés savent accueillir cette phase chaotique avec le coeur ouvert, tout en créant activement le nouveau monde, tandis que ceux qui sont encore endormis et somnolents considèrent cette période comme désespérée et sans joie. Beaucoup d’autres ne se demandent même pas s’il y a pas un problème. Ils acceptent simplement et silencieusement ce qui est écrit dans les journaux ou vu à la télévision. Rien n’est remis en question. Encore moins soi-même.
Il m’est venu à l’esprit qu’il y a des mots que certaines personnes ne veulent pas entendre, parce que ces mots remettent en question la personnalité qu’elles ont acquise au fil des ans et les « connaissances » qu’elles ont apprises par cœur dans les livres. Combien il doit être difficile pour quelqu’un qui a appris et qui est convaincu de quelque chose toute sa vie de découvrir soudainement que la vérité est toute autre.
Lorsqu’il y a quelques années, grâce à l’ «ex-hitman» John Perkins, j’ai comprit comment la « corruption » se produit, il m’est apparu clairement que toutes les origines des guerres doivent être remises en question de toute urgence, et que cela doit être enseigné dans toutes les écoles. À qui profite une guerre ou un acte terroriste ? Qu’évoque une guerre auprès des habitants du pays ? Et comment se comportent des gens affaiblis ? Qu’advient-il de leurs veines artistiques et inventives ? Dans quelle mesure s’éloignent-ils de la voix de leur cœur et se coupent-ils de l’inspiration directe ? Dans quelle mesure deviennent-ils les moutons obéissants de leur pays ? Et qui, à son tour, en bénéficie ?
La deuxième question qu’il est urgent de se poser, puisque nous recevons toujours les informations « officielles » des mêmes médias avec le même contenu, est la suivante : qui est payé par qui pour diffuser certaines nouvelles ? Pour obtenir certains résultats ? Qui paie les journalistes, qui paie les scientifiques ? Qui paie les médecins ? Qui laisse les avocats exercer leur profession ? Qui paie le gouvernement ? Qui paie les politiciens ? Qui paie les PDG des entreprises, dont la plupart se soucient souvent beaucoup plus des profits de leur entreprise que du bien-être de leurs employés et de leurs producteurs. Presque tout le monde a des peurs existentielles et est donc « à vendre ». Rares sont ceux qui osent raccrocher leur emploi bien payé au nom de la vérité et témoigner au-delà de la diffamation sur ce qu’ils ont trouvé.
Beaucoup d’entre nous ont également peur d’être déçus. Mais la fin de la déception ne conduit-elle pas directement à la vérité, et le fondement de la vérité n’est-il pas la source de guérison ? Puis la peur peut-elle coexister avec la guérison ? C’est pourquoi nous devrions toujours nous poser cette troisième question très importante : Qu’est-ce que je perds vraiment, et qu’est-ce que je gagne vraiment, lorsque je choisis la vérité ?
Et enfin, nous sommes TOUS invités aujourd’hui à réfléchir véritablement à notre avenir. Pour nous demander qui nous sommes vraiment, ce qui nous anime au fond de nous et nous rend heureux, et quel monde nous voulons pour nos enfants et les enfants de nos enfants.
Rien ne sera plus pareil dans les temps à venir. Nous ne reviendrons jamais à la « vieille normalité ». Soit le paradis nous attend, et cela exige que l’humanité s’éveille à elle-même, que nous prenions conscience que nous sommes des êtres divins dans un corps humain dotés de pouvoirs créatifs incroyables, soit nous continuons à somnoler et à nous faire vacciner contre le Covid-19 tant attendu, qui nous permettra peut-être de voyager dans des pays lointains et de faire des achats simplifiés, mais qui nous rendra malades à long terme, car tout notre ADN sera complètement détruit par les vaccins à mRNA – et ne pourra plus jamais fonctionner normalement. Nous n’avons pas beaucoup de temps pour nous réveiller. C’est donc ok de ressentir un certain malaise lorsque nos amis « éveillés et sincères » donnent des conseils bien intentionnés. Mais en fin de compte :
Le choix nous appartient. Se réveiller ou continuer à dormir ?