Sources: https://stopmensonges.com. Laurent Freeman
Suite de: le-guide-de-l’etre-souverain-1ère-partie
Nous abordons ici, comme convenu, le système bancaire, les relations avec la police et comment devenir un être souverain.
Le Système Bancaire
Après les échanges et le troci, la forme la plus acceptée de monnaie fut les pièces d’or, d’argent et autres métaux précieux. Les pièces avaient un poids précis et une valeur effective. Il n’était pas toujours souhaitable, ni sécurisant, de trimbaler toutes ces pièces avec soi, donc les gens allaient déposer leurs pièces d’or et d’argent à la banque pour les mettre en sécurité et, en retour, la banque leur remettait des reçus ou Notes de Crédit. Ces Notes de Crédit pouvaient être ré-échangées plus tard par la banque. Comme c’était plus commode, les gens ont commencé à utiliser les Notes de Crédit comme monnaie entre eux dans la mesure où elles pouvaient être échangées dans le future contre leur véritable valeur en or ou en argent par la banque (les billets de nos jours sont des billets de dette et ne sont soutenus par aucune valeur).
Les banquiers réalisèrent très vite qu’ils avaient beaucoup d’or et d’argent dans leurs réserves et qu’il était invraisemblable, ou en tous cas fort peu probable, que tous les déposants viennent réclamer leur or le même jour. Ce qui voulait dire qu’à tout moment il y avait une quantité d’or et d’argent dans la réserve qui n’était pas utilisée. Les banquiers ont donc commencé à prêter cet argent à des emprunteurs en ne gardant qu’une fraction du total des dépôts en réserve, et c’est ainsi que le système de réserves fractionnaires est né !
Ceci signifie que les banques n’ont l’obligation que de garder un petit pourcentage des fonds déposés et ne peuvent prêter principalement que l’argent des gens avec intérêts ! Ce n’est pas un fait très connu, mais les banques ne sont pas autorisées à prêter leurs propres actifs ou fonds –seulement ceux des autres gens en plus de ce que VOUS créez avec VOTRE SIGNATURE (plus sur ce sujet plus tard). Saisissez bien cela. Généralement, quand quelqu’un emprunte à la banque, il laissera cet argent sur un compte –plutôt que de retirer le montant total– jusqu’à ce qu’il en ait besoin. Ce nouveau montant que la banque a prêté est ensuite ajouté au montant total des dépôts de la banque qu’elle utilise pour prêter encore davantage…
Que se passe-t-il quand je fais une demande de prêt ?
Vous entrez dans une banque et voudriez, disons, un prêt de £1000 (ce que vous dites en réalité c’est que vous voudriez avoir accès à £1000 de votre Crédit). La banque procède à une petite enquête sur vous et à une vérification de votre crédit. Pourquoi donc ? C’est pour s’assurer qu’elle pourra faire de l’argent sur votre dos au travers des intérêts. Une fois que votre crédit est approuvé, la banque vous présente un Contrat qui stipule qu’elle vous prête ce montant et que vous acceptez de le rembourser avec intérêts. Vous signez ce Contrat. (Note : vous êtes le seul signataire du Contrat, celui-ci est par conséquent Unilatéral/Non Contraignant.) À ce moment-là vous croyez que la banque débite ce montant de son “Coffre” pour le créditer sur votre compte.
Cela peut être difficile à croire mais le système bancaire fonctionne aujourd’hui de façon totalement frauduleuseii.
Voilà ce qui se passe dans la réalité : c’est votre signature qui crée le nouveau crédit. C’est votre signature sur le document/Contrat qui détient TOUTE la valeur de l’accord. Vous êtes en fait en train de puiser dans votre “crédit illimité”. La banque ne fait que jouer le rôle d’intermédiaire entre l’Homme et le Crédit et, ce faisant, elle donne l’impression d’être le “Prêteur”. Elle vous donne l’impression de vous prêter à partir de ses propres actifs et fonds alors que ce n’est pas le cas. Elle vous laisse croire qu’elle risque de perdre de l’argent et qu’elle prend le risque de vous le prêter.
Compte tenu de tout cela, diriez-vous que les termes de l’accord vous ont été pleinement divulgués ? Bien sûr que non ! Jusqu’ici nous avons couvert deux domaines qui vous donne des raisons d’annuler un tel accord :
La banque n’a pas pleinement dévoilé les termes de l’accord. La divulgation totale est un critère de Contrat.
L’accord ne comporte qu’une seule signature : la vôtre ! Par conséquent, l’accord n’est pas contraignant (la signature des deux parties –ou de toutes les parties, le cas échéant– est un critère de contrat, ce qui signifie “consensus ad idem” ou une rencontre des esprits, et lie les deux (ou toutes les) parties.
En plus de la connaissance de l’arnaque que représente le système bancaire mondial, ceci est une information suffisante pour régler (c’est-à-dire annuler) toutes vos dettes.
Quel est le processus pour y arriver ?
C’est très simple, en fait. Tout ce que vous avez à faire est de demander à la banque une preuve de réclamation pour la “dette” en question. Elle déclare que vous lui devez une certaine somme, ce qui implique qu’elle vous aurait prêté cette somme et qu’elle a donc subi une perte. En d’autres termes, elle prétend “en être de sa poche” à cause de vous. Vous pouvez tout simplement lui demander de valider cette dette.
Voici un exempleiii de Notification par courrier recommandé que vous pourriez envoyer à la banque pour vérification. Il existe pléthore d’informations sur les moyens à employer pour vous libérer de vos dettes.
John-David: Doe – Agent autorisé 1
Note : Il est fort vraisemblable qu’une seule de ces notifications ne sera pas suffisante pour mettre un terme à vos dettes car les banques n’abandonnent pas facilement, mais c’est le premier pas dans le processus. Il vous faudra sûrement envoyer une série de notifications/courriers recommandés à la banque pour effectivement annuler vos dettes, mais en envoyant cette notification/lettre recommandée à la banque, vous la mettez en position de devoir vous prouver que vous lui devez de l’argentiv. Les ressources en fin d’ouvrage vont mèneront à davantage d’informations et aux connaissances nécessaires pour envoyer ces notifications avec confiance et succès, et ainsi annuler toutes vos dettes complètement et de manière tout à fait licite !
Petit Guide Amical sur les Relations avec
les Agents du Maintien de l’Ordrev
Voici un court exemple pour vous aider à comprendre la différence qui existe entre les Gardiens de la Paix et les Agents du Maintien de l’Ordrevi. Examinons trois postes différents qui sont les gardiens de prison, les officiers de police et les agents de la circulation, et voyons comment leurs rôles varient de Gardien de la Paix à Agent du Maintien de l’Ordre.
Gardiens de prison : maintien de la paix uniquement.
Officiers de police : maintien de la paix et maintien de l’ordre.
Agent de la circulation : maintien de l’ordre uniquement.
Gardiens de la Paix vs Agent du Maintien de l’Ordre
Gardien de la Paix
Agent de police Homme/Femme
Maintient la paix
Règle les disputes entre deux Hommes/Femmes
Agent pacifique du voisinage
Est plus inquiet pour vous et votre sécurité que de générer des revenus
Agit sur la base du Droit Coutumier
Agent du Maintien de l’Ordre
Agent “Personne”
Fais respecter la législation
Recherche activement des condamnations
Rassemble des preuves contre vous pour les poursuites judiciaires du Ministère Public
Agit sous un angle corporatif et n’a pas votre intérêt à cœur
Agit selon les Statuts.
Il y a approximativement 14 415 gardiens de la paix en Irlande et donc il est fort probable que vous tombiez sur l’un d’eux au cours de votre vie. Avec quelques 500 000 P-V de circulation enregistrés chaque année, il y a des chances que vous soyez contraint de vous arrêter un de ces jours. Alors que faire ?
Les gardiens sont recrutés pour être nos protecteurs, cependant quand ils font respecter les statuts, ils deviennent des agents du maintien de l’ordre. Leur rôle change de maintien de la paix au recouvrement de créances.
Les gardiens ne sont pas vos ennemis, mais ils ne sont pas non plus vos amis s’ils agissent comme agents de recouvrement. Ils sont dans une position d’adversaire, comme au jeu d’échecs. Ils veulent gagner, ils veulent obtenir une condamnationvii (la vôtre !).
Veuillez noter que vous avez le droit d’enregistrer les gardiens. Quand ils sont libres, ils jouissent de leur droit à la vie privée, mais quand ils agissent dans le domaine public, vous avez le droit de les enregistrerviii. S’ils vous créent des problèmes à ce sujet, vous pouvez dire « Je rassemble des preuves pour ma défense, officier. »
Sachez quand et comment exercer vos droits, et n’oubliez pas : vous êtes en train d’agir légitimement !
1. Vibrations positives
La chose la plus importante est d’être aussi amical(e), sympathique et courtois(e) que possible, cela se révélera payant en fin de compte. Agissez de façon pacifique, respectueuse et éthique à leur égard. Faites-leur savoir que vous les enregistrer, déclarez la date et l’heure, notez leur numéro de badge, demandez-leur leurs noms et leurs cartes de visite. Si cela les vexe, dites-leur que c’est pour votre Sécurité. S’ils vous critiquent sur ce point, demandez-leur «Allez-vous me nier ma sécurité ? » « Avez-vous un problème avec ça, officier ? » Bien sûr que non ! Vraiment ?
2. Premier contact
Vous pourriez être en train de conduire votre voiture ou longer une rue. Premièrement, regardez autour de vous pour voir s’il y a des gens à qui demander d’être témoins. La plupart des gens aiment observer de toute façon, et cela vous aidera dans votre défense, au besoin. Si vous êtes en voiture, essayez de vous arrêter près d’eux ou alors appelez-les. Rappelez-vous que vous ne pouvez vous arrêter que si cela ne représente aucun danger, donc cela vous donne un peu de temps.
Enregistrez, enregistrez, enregistrez
Presque tous les téléphones ont une fonction enregistrement audio ou vidéo. Si vous êtes bien préparé, vous aurez même un enregistreur ou un caméscope sur vous. Assurez-vous que l’officier sait que vous enregistrez.
Si vous conduisez, vous pouvez choisir de rester dans votre voiture privée (pas votre “Véhicule” qui est un autre terme juridique ou commercial). Faites descendre la vitre juste assez pour permettre une communication aisée avec l’officier de la paix. Restez sur vos positions.
Ou alors vous pourriez choisir de sortir de votre voiture mais, dans ce cas, prenez soin de fermez les portières à clé derrière vous et de mettre les clés dans votre poche. Restez sur vos positions.
Le fait est que vous contrôlez la situation : vous agissez pacifiquement et légitimement, et protégez vos droits.
Vous avez le Droit de Voyagerix (sans être taxé et sans entrave).
3. L’Art de Poser des Questions
Les Gardiens sont formés à vous questionner de façon à vous faire admettre la culpabilité. Ils usent normalement d’un ton intimidant et peuvent même vous bousculer un peu. Ne le prenez pas à cœur.
Vous pouvez contrôler la situation en leur posant des questions (n’oubliez pas d’enregistrer, vous êtes en train de construire votre défense).
Quelques questions que vous pourriez poser :
« Bonjour, officier, quelle est la nature de la détention visée ? »
« Avez-vous été témoin que j’ai troublé l’ordre ? »
« Selon quelle loi me détenez-vous ? »
L’officier est obligé d’indiquer les raison de votre détention. S’il n’a pas été témoin que vous avez troublé l’ordre, il n’a pas de “cause probable” et vous n’avez aucune raison de lui parler. Rappelez-vous que “troubler l’ordre ” c’est enfreindre le Droit Coutumier.
Vous pourriez continuer en disant/demandant :
« Je réserve mon droit de ne pas parler à un officier qui n’a pas été témoin que j’ai troublé l’ordre. »
« Suis-je libre de partir ? » S’il dit non, demandez « Suis-je en état d’arrestation ? » et continuez de poser ces deux questions jusqu’à ce qu’il vous laisse partir ou vous arrête.
Il pourrait arguer qu’il est obligé de vous demander votre nom ou vos papiers d’identité (afin de conclure un contrat avec votre Homme de Paille), mais vous pouvez dire :
« Suis-je obligé(e) de vous donner cette information ? » Vous n’êtes pas obligé(e) et s’il dit que vous l’êtes, il agit donc de façon illicite et frauduleuse et vous pouvez porter plaintex contre lui.
Vous avez droit à la vie privée signifie que PERSONNE n’a le droit d’envahir votre vie privée à moins que vous n’ayez d’abord bafoué les droits de quelqu’un d’autre. C’est là qu’un membre de la Garda Siochana est dans sa capacité d’officier de la paix/défenseur/protecteur.
4. En état d’arrestation
Si vous pensez avoir épuisé toutes vos options et suspectez qu’on est sur le point de vous arrêter, déclarez clairement :
« Officier, je suis un homme/une femme paisible ; si vous m’arrêtez, il est inutile d’user de force, mais vous voudrez bien noter, pour mémoire, que je viens avec vous sous la contrainte et sous toute réserve. Je réserve tous mes droits et n’en abandonne aucun. » (Ceci signifie que vous ne consentez pas, mais que vous ne résistez pas non plus.)
Ne consentez à aucune fouille, aucune prise d’empreintes, aucun échantillon d’ADN, etc.
Rappelez-vous de la définition d’un statut et comment il ne s’applique que si vous y consentez.
L’égalité devant la Loi est primordiale et obligatoire.
Si vous n’avez pas enfreint la Loi, la police n’a aucun droit de vous détenir, de vous interroger et de vous harceler. Vous avez le Droit d’être Libre.
(Vous êtes libre !)
5. En salle d’interrogatoire
Si vous sentez qu’il serait plus facile de coopérer pour rentrer plus vite chez vous, la chose à se rappeler c’est que les agents essaieront de conclure un contrat avec votre Homme de Paille (en faisant appliquer les statuts). Voici quelques idées à utiliser pour éviter le contrat. Donner votre nom équivaut à consentir.
Note : vous n’avez pas besoin d’attendre d’arriver dans la salle d’interrogation !!!
(même si cela ne l’empêchera pas)
Officier : Quel est votre nom ?
Homme : John
Officier : Votre nom complet.
Homme : John-David
Officier : Nom de famille ?
Homme : Nom de famille ? Pourquoi avez-vous besoin ça ? Je vous ai donné mon nom, non ?
Si vous décidez de donner votre nom dites « John-David de la famille Doe » et assurez-vous qu’il l’écrive de cette manière de façon à vous distinguer de l’entité commerciale M. JOHN-DAVID DOE / M. JOHN DOE, etc.
Officier : Quelle est votre adresse ?
Homme : (vous pouvez être vague) « Je vis dans la région xxx au nord de Dublin » ou « à la Yellow Street, c’est près de Ballyxxx »
Après quoi, ils vous poseront des questions du style « Savez-vous à quelle vitesse vous rouliez ? » ou « Savez-vous ce que vous avez fait de mal ? » ou encore « Savez-vous pourquoi vous êtes ici ? »
Ils essaient de vous faire admettre une culpabilité. N’ADMETTEZ JAMAIS RIEN en disant « Désolé, j’ai dépassé un petit peu la limite » ou « Je roulais à 70 km/h » ou autre chose de cette nature.
Répondez à leurs questions avec plus de questions : « vraiment ? », « Ah, bon ? », « Vous pouvez le prouver ? » ou au moins finissez vos phrases avec une petite question.
Cela mettra la balle dans leur camp et vous évitera de conclure un contrat avec eux.
Comment devenir un Être Souverain ?
Faisons une récapitulation rapide : Les statuts qui sont créés par le Gouvernement/État et qui restreignent les libertés ne s’appliquent qu’aux entités légales telles que la “Personne” ou “l’Homme de Paille” –qui a été également créé par le Gouvernement/État. Cet Homme de Paille est représenté par votre nom généralement écrit en LETTRES MAJUSCULES. On ne vous a pas divulgué cette information et, par conséquent, vous croyez à tort que vous êtes l’Homme de Paille et vous acceptez de le représenter. Cet Homme de Paille (société/appellation commerciale) a été créé à votre naissance au moyen de l’obligationxi de l’acte de naissance et est utilisé comme nantissement. Vos droits ont été restreints par le Gouvernement/État parce qu’il pense vous représenter. Il présume votre consentement à ses règles et régulations parce que vous n’avez jamais déclaré le contraire. Le silence en droit est considéré comme un accord (ou un accord tacite).
Rappelez-vous…
Ceci n’est pas un moyen d’enfreindre la loi et de s’en tirer.
Ceci représente une opportunité réelle d’assumer la responsabilité de vous-même et de vos actes, et de déclarer votre indépendance en tant qu’Homme ou Femme souverain(e).
En ce moment, vous vivez dans un asservissement par les taxes et la dette. Pour la plupart, nous travaillons à des boulots que nous n’aimons pas, nous payons des impôts pour régler une dette dont nous ne sommes pas responsables et qui n’existe que si nous croyons qu’elle existe.
C’est un vrai chemin vers la liberté.
Le plus important encore :
Être libre est un état d’esprit.
Vous faites-vous suffisamment confiance pour prendre vos propres décisions et en subir les conséquences, bonnes ou mauvaises ?
Pensez-vous que vous êtes suffisamment responsable pour prendre soin de vous et de votre famille sans avantages sociaux ?
Pensez-vous que Nous le peuple pouvons travailler ensemble, mettre nos ressources, nos compétences, notre expérience et notre sagesse en commun pour créer de meilleurs communautés et sociétés sans la participation d’un gouvernement qui contrôle en jouant le “rôle du parent” ? Pensez-vous que nous pouvons ensemble rendre le monde meilleur ?
Traduit de l’anglais par Sylvie C. Buisson (17 septembre 2015)
Finalement, il y aura une Troisième Partie qui traitera uniquement de l’élaboration d’une Notification d’Intention/Revendication de Droits et comportera des liens.
Les Notes de BibiCabaya
i Échange et troc ont l’air d’être équivalents pourtant il existe une distinction juridique : en droit, l’échange est un contrat alors que le troc est un simple fait.
ii Michael Tellinger, fondateur du Mouvement de Libération Ubuntu, dit très justement que le système bancaire est le plus grand syndicat du crime organisé dans le monde (non seulement il appauvrit, arnaque et extorque les humains et vole leur patrimoine, mais il finance aussi les guerres, les destructions…).
iii Les noms des humains s’écrivent selon un code précis. Par exemple, “John-David: [deux points] Doe” indique que l’on a affaire à un être de chair et de sang. “JOHN-DAVID DOE” fair référence à une entité commerciale, fictive et légale. Dans cet exemple, l’auteur(e) a inséré des symboles : on retrouve un directeur de banque nommé Crook (anglais pour escroc), une banque nommé Corrupt (corrompue) et le signe de la Bête ou de l’Antéchrist, 666, y figure également. J’ai trouvé cela amusant☺. Notez que notre John-David Doe n’utilise pas de code postal dans son adresse. Le code postal est une propriété privée dont l’usage entraîne le paiement de l’impôt et place celui qui l’utilise sous la loi martiale… un détail ! Le terme “Agent Autorisé” indique que vous représentez votre Homme de Paille SANS ENDOSSER DE RESPONSABILITÉ pour lui (ses dettes, ses PV, etc.).
iv Voir également, l’article DIX QUESTIONS À POSER À VOTRE BANQUE.
v En Irlande la police se nomme Gardaí Síochana qui signifie Gardiens de la Paix.
vi Policy Enforcer en anglais se réfère à ceux dont la mission est de faire respecter les politiques publiques, c’est-à-dire les Statuts.
vii Une condamnation est un accord commercial !
viii Audio, vidéo.
ix En Droit Coutumier, il existe une différence entre “voyager” et “conduire”. Voyager est une activité privée, alors que conduire est une activité commerciale (et peut donc être taxée).
x Comme je l’ai dit, je ne suis pas juriste ☺! Il est question ici de “claim colour of right”. “Colour of Right” en anglais signifie “apparence de droit”, mais ce ne sont pas que des mots, c’est tout un concept. En gros, il s’agit d’une croyance dans un état de fait qui, s’il existait, justifierait ou excuserait l’acte commis. Dans l’exemple, le policier croit que l’homme est obligé de décliner son identité et procédera à son arrestation. Mais l’homme n’y est pas obligé…
xi Au sens financier du terme.